En première ligne dans la polémique sur le démantèlement (…)
Il est probable que ce qu’il est convenu d’appeler le (…)
Les tribulations de l’ancien porte-avions Clemenceau ne se sont pas achevées avec la décision de le rapatrier en France. En panne de contrat de remorquage, le navire n’avait toujours pas pris le chemin du retour vers Brest, vendredi 17 février, où il sera accueilli, dans quelque trois mois, avec des sentiments mêlés. Avec émotion par les marins qui ont servi à son bord, mais sans plaisir par le maire (PS), François Cuillandre, qui refuse la perspective de voir "la carcasse du Clemenceau pourrir dans un coin de la rade de Brest pendant un temps indéterminé".
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Source : Le Monde