Le bâtiment hydrographique Khaireddine, de la marine (…)
En 2003, le gouvernement portugais a considéré que les (…)
Amarré à Brest depuis la fin de son ultime mission le 26 mai, le porte-hélicoptères « Jeanne-d’Arc » est promis à la ferraille. Une fois la mise en sécurité et l’inventaire des matières dangereuses réalisés, la Marine nationale française lancera un appel d’offres pour sa déconstruction. Une procédure très encadrée, pour ne pas revivre le « psychodrame » du « Clémenceau ».
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Source : Les Echos