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Voici un an, le Clem s’offrait une dernière bataille. Conduite à l’abattoir, la ferraille se rebellait, bousculant au passage certitudes et équations. A l’étonnement général, l’ex-fleuron de la marine revenait à quai, comme à son départ, gorgé d’amiante ! Le retour du Clemenceau sonnait alors le glas de ce qui a pu apparaître comme une facilité, sortir du trouble la tête basse ! Pourtant la nocivité de l’amiante était déjà connue. Pourquoi les murs imbibés d’université ou d’usine n’ont-ils pas suggéré plus tôt une prise de conscience ? Heureusement, le destin n’est pas toujours écrit. Ce qui a été perçu comme un fiasco peut se convertir en leçon. Naguère pilier du savoir faire français, le Clemenceau peut le redevenir en la forme d’un chantier pilote porté par véritable politique industrielle et environnementale en matière de traitement de l’amiante.
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Source : Chine Info