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Michèle Alliot-Marie et son homologue britannique, John Reid, se sont rencontrés samedi à Saint-Jean-de-Luz pour faire le point sur la coopération franco-britannique, trois semaines après les attentats de Londres qui ont fait 56 morts.
Dans le domaine industriel, Michèle Alliot-Marie et John Reid, dont c’était la première rencontre en tête-à-tête, ont évoqué le projet de porte-avions franco-britannique, l’un des symboles de la coopération européenne de défense qui devrait voir le jour à l’horizon 2012.
La direction des constructions navales (DCN) et Thales, côté français, BAE Systems et Thales-UK pour la Grande-Bretagne ont remis fin juin leurs propositions aux deux gouvernements.
Toute la question réside dans le nombre de points de fabrication communs - et donc d’économies d’échelle pour les deux gouvernements - des futurs navires.
Si la France a finalement renoncé à la propulsion nucléaire, dont elle a équipé le Charles-de-Gaulle, elle conservera le catapultage des appareils sur son futur porte-avions alors que la Grande-Bretagne dispose d’avions de combat à décollage court et appontage vertical.
Source : Reuters