Mis en place le 31 mars, les Rafale du « plot mixte » (…)
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Alors que le porte-avions français Charles-De-Gaulle est en travaux, et donc hors-jeu jusqu’en 2018, le nouveau président français ne pourra, à l’inverse de François Hollande, s’appuyer sur cet outil pour faire entendre la voix française dans les conflits mondiaux. Une occasion pour la marine de faire pression sur les candidats en faveur d’un deuxième porte-avions tricolore, afin d’assurer la « permanence à la mer », en plaidant qu’un investissement estimé à 4,5 milliards d’euros peut se gérer dans la durée.
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Source : Les Echos