Chaudières et catapultes : les enjeux techniques du prochain porte-avions

  • Dernière mise à jour le 27 janvier 2017.

Même le socialiste de gauche Benoît Hamon - qui n’oublie pas qu’il est Brestois - est pour. La construction d’un nouveau porte-avions (PA) sera l’un des dossiers du prochain président de la République. Des études préliminaires pourraient être lancées, pour un coût d’environ 100 millions d’euros par an durant le futur quinquennat. Certains plaident pour un feu vert à la construction vers 2020, qui pourrait aboutir à une mise en service opérationnelle vers 2035… Tout cela reste encore flou. Une chose est certaine : il ne s’agit pas de construire un second porte-avions, mais bien un successeur au Charles-de-Gaulle, même s’il est possible que pendant une période de tuilage, la Marine aligne deux PA. Autre quasi-certitude : le bateau sera construit à Saint-Nazaire, et non à Brest comme son prédécesseur.

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Source : Secret Défense