Jeudi 26 mai 2011, sur la base aéronavale de Lanvéoc (…)
Sous le soleil de midi, malgré la chaleur ambiante et la (…)
Mèche blanche au vent et lunettes aux verres fumés, Antoine est juché sur le perroquet, le point le plus haut du kiosque, à côté des antennes et du périscope. Christian se tient sur la passerelle juste au-dessous de lui. Dix mètres plus bas, la longue coque du « Terrible » fend les flots noirs de l’Atlantique, laissant un sillage d’écume. Ils partent pour deux mois, au cours desquels, ils le savent, ils ne pourront envoyer aucun message à leur famille.
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Source : Paris Match