Malgré les pirates, deux plaisanciers bordelais refusent de renoncer à une croisière dans le golfe d’Aden

  • Dernière mise à jour le 19 avril 2010.

Alors que les moyens du Quai d’Orsay sont mobilisés pour assurer le retour vers la métropole des Français bloqués à l’étranger par l’interruption des vols, la cellule de crise se débat parallèlement avec une affaire curieuse. Elle se déroule à Djibouti, où l’équipage d’un petit navire de plaisance de 10,65 m et de 40 ans d’âge, le ketch Anaika, immatriculé à Bordeaux, cause un casse-tête à la diplomatie française.

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Source : Le Point