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L’enquête menée par le Central Bureau of Investigation (CBI) sur les allégations de pots de vin lors de la vente de sous-marins Scorpène n’a connue aucune avancée puisque presque toutes les preuves semblent avoir disparues à cause du retard à charger l’agence de l’enquête.
Le CBI doit remettre un rapport à la Delhi High Court d’ici le 24 mars et l’agence avance toujours dans le noir puisqu’aucune preuve n’est apparue.
La High Court a ordonné le 20 décembre dernier au CBI d’effectuer une nouvelle enquête préliminaire sur les allégations de pots de vin contenues dans une requête d’intérêt public.
Le CBI a envoyé des demandes semi-officielles à plusieurs pays concernant des détails de comptes bancaires, des relevés téléphoniques et des échanges d’emails entre une compagnie française et sa filiale en Inde.
Des sources de l’agence indiquent qu’aucun des pays n’a fourni de réponse puisque les demandes n’ont aucun impact légal qui les obligent à le faire. Le CBI ne pouvait pas envoyer de demande officielle puisqu’il aurait alors dû ouvrir une enquête formelle.
L’agence, qui a été sermonnée par la cour pour ses investigations de piètre qualité dans cette affaire, est en train de contacter d’anciens officiers de marine et d’autres liés à cette affaire pour essayer de comprendre le lien entre une affaire d’espionnage, la fuite du Naval war room, et la vente des Scorpène.
La firme française visée par l’enquête, non citée dans l’article, est Thales.
Source : The Hindu (Inde)