Le projet accumule les délais et coûts supplémentaires (…)
L’atterrissage d’urgence à l’aéroport international de (…)
Si la France doit un jour conduire une opération amphibie loin de ses grandes bases, par exemple pour soutenir un pays allié ou contrer l’invasion de l’un de ses territoires ultramarins, il lui faudra un porte-avions. C’est l’un des enseignements de l’exercice POLARIS, qui vient de s’achever après un débarquement en Bretagne.
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Source : Mer & Marine