L’amiral Nicolas Vaujour, chef d’état-major de la Marine nationale, reçu au chateau de Windsor par le roi Charles III

  • Dernière mise à jour le 25 mars 2025.

Le roi Charles III, qui est le chef des armées britanniques, a rencontré lundi après-midi les plus hauts responsables militaires du Royaume-Uni et de la France au château de Windsor.

Il a accueilli les dix invités, dont le chef d’état-major des armées britanniques, l’amiral Sir Tony Radakin, et son homologue français, le général Thierry Burkhard, dans le salon blanc de la résidence royale dans le Berkshire, où ils ont posé pour une photo de groupe.

Cette rencontre a eu lieu alors que les préparatifs militaires occidentaux visant à faire respecter un éventuel cessez-le-feu en Ukraine s’intensifiaient à Londres, avec des discussions entre les chefs militaires britanniques et français.

Sir Tony, chef d’état-major des forces armées britanniques, a déclaré que les deux puissances nucléaires européennes « intensifiaient leurs efforts pour forger un partenariat plus fort et plus approfondi ».

Aux côtés des chefs d’état-major des armées de terre, de mer et de l’air de chaque pays, Sir Tony et le général Burkhard ont discuté des efforts visant à « galvaniser » la réponse européenne à la situation en Ukraine, tandis que des responsables ukrainiens, russes et américains participaient à des pourparlers en Arabie saoudite visant à parvenir à un cessez-le-feu.

Étaient également présents à Windsor, aux côtés du roi, la vice-chef d’état-major de la Défense, la générale Dame Sharon Nesmith, le Premier Lord de la Marine et chef d’état-major de la Marine, l’amiral Sir Ben Key, le chef d’état-major général, le général Sir Roly Walker, et le maréchal de l’air Allan Marshall.

Du côté français, on retrouvait également le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Pierre Schill, le chef d’état-major de la marine, l’amiral Nicolas Vaujour, le chef d’état-major de l’armée de l’air et de l’espace, le général Jérôme Bellanger, ainsi que le général Stéphane Abrial.

Downing Street a déclaré vendredi que « rien n’était exclu » concernant un éventuel déploiement de troupes à Kiev.

Source : Jersey Evening Post (Grande-Bretagne)