Derrière l’île du Grand Bé, un pêcheur a découvert un (…)
Le 5 mars 2025 à Boulogne-sur-Mer, le vice-amiral (…)
Un groupe de six sous-marins de pays alliés, dont un français, participe au principal exercice de guerre sous-marine de l’OTAN, baptisé Exercice Dynamic Manta 25. Cet exercice devrait se dérouler dans les eaux au large des côtes italiennes du 28 février au 14 mars 2025. L’événement réunira une variété de moyens, notamment des navires de surface, des sous-marins et des avions, ainsi que de nombreux personnels militaires.
La mer Méditerranée servira de toile de fond à cette opération d’entraînement intensive visant à améliorer et à mettre en valeur la compétence collective des alliés en matière de guerre sous-marine.
Le commandant des sous-marins de l’OTAN, le contre-amiral de la marine américaine Bret Grabbe, a déclaré : « Des exercices comme Dynamic Manta aident l’OTAN à conserver son avance en matière de guerre anti-sous-marine.
« En pratiquant des opérations coordonnées contre les menaces sous-marines conventionnelles et avancées, l’OTAN continue de démontrer son engagement à protéger les voies maritimes stratégiques qui relient les États membres. »
Les participants comprennent des unités, des marins et des aviateurs de neuf pays de l’OTAN.
Les sous-marins proviennent des marines française, grecque, italienne, turque et américaine, le commandement des sous-marins de l’OTAN exerçant le contrôle opérationnel comme le prévoit le scénario de l’exercice.
Des avions de patrouille maritime du Canada, d’Allemagne, de Grèce, du Portugal, de Turquie, du Royaume-Uni et des États-Unis devraient y participer, ainsi que des hélicoptères de patrouille maritime de France, d’Italie et des États-Unis.
Ces moyens aériens seront soutenus par des navires de surface de Grèce, d’Italie, d’Espagne, de Turquie et des États-Unis.
L’Italie, en tant que pays hôte, fournit un soutien logistique par le biais de ses installations dans les ports de Catane et d’Augusta, de la base d’hélicoptères navals de Catane, de la base aéronavale de Sigonella et de la base navale d’Augusta.
Source : Naval Technology (Etats-Unis)
