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Depuis le début de la guerre en Ukraine, la France ne donne plus les chiffres de disponibilité de ses aéronefs. Pour autant, les difficultés de l’hélicoptère Caïman marine et de l’avion de patrouille maritime ATL2 étaient patentes, avec une disponibilité très basse, réduite à quelques appareils seulement. Après plusieurs années d’effort, la Marine nationale commence à percevoir les bénéfices, avec une augmentation sensible sur le Caïman marine et réelle mais plus mesurée sur l’ATL2.
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Source : Le Marin