Exercice international sur la Clyde

  • Dernière mise à jour le 25 avril 2007.

Un important exercice naval d’une durée de 2 semaines a commencé lundi sur la Clyde avec des simulations d’attaques de navire.

Des navires de surface et des sous-marins vont s’entraîner dans des exercices maritimes et aériens sur et sous la rivière.

Les navires quittant Faslane lundi ont dû faire face à des attaques simulées lancées par les Royal Marines et des forces de sécurité du ministère Britannique de la défense à bord de petits bateaux ainsi que de jet-ski du Maritime Warfare Centre.

La Royal Navy a indiqué que la base navale de la Clyde et les eaux de la côte ouest de l’Ecosse seraient le théâtre d’une ‘formidable démonstration de puissance de feu’ alors que les navires les plus importants de la Royal Navy allaient participé à l’exercice Neptune Warrior.

Il est destiné à améliorer l’entraînement des soldats de maintien de la paix, de marins et d’aviateurs de 8 nations.

La Grand-Bretagne sera la plus représentée, avec la présence des porte-avions HMS Ark Royal et HMS Illustrious et du navire d’assaut amphibie géant HMS Albion — représentant 60.000 tonnes de muscles maritimes, pouvant transporter des troupes et des avions vers les points de trouble n’importe où dans le monde.

Neptune Warrior va aussi impliquer les mers environnantes et l’espace aérien de l’Ecosse et du nord de l’Angleterre dans un exercice commun avec les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Norvège et le Danemark.

Un total de 19 snavires, 20 hélicoptères et jusqu’à 60 avions participeront à l’exercice.

Un porte-parole de la Royal Navy a déclaré : “Une étude de risque complète a été réalisé pour réduire l’impact environnemental.

“A la suite de consultation avec les communautés locales, les propriétaires de terrain et les agences de l’Exécutif Ecossais, une série de mesures a été prise pour minimiser l’impact et garantir le respect des exigences légales et réglemntaires.

“Les unités travaillent strictement selon les règles du ministère pour limiter les effets de vol à basse altitude et les peturbations possibles des mammifères marins et d’autres animaux. Les inquiétudes particulières des groupes écologistes ont aussi été prises en compte.”

Source : Greenock Telegraph