Le 14 janvier 2022, le vice-amiral Arnaud Provost-Fleury,
Une classe de troisième, partenaire du sémaphore de la (…)
Même à sec, un sous-marin ça s’entretient. « Il y a les embruns. La pluie. Les pigeons. À la longue, tout cela abîme la coque. Et au final, ça peut la trouer. Aussi, tous les cinq-six ans, le sous-marin Flore a droit à une bonne couche de peinture », lance Michel Scarpellini, ancien sous-marinier et président du musée de l’escadrille des sous-marins de l’Atlantique. Un titre qui lui vaut d’être aujourd’hui responsable du Flore, l’une des pièces maîtresses de la cité de la voile de Lorient.
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Source : Le Télégramme