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« C’était lunaire. Pas de visibilité et des éperons métalliques dangereux. Beaucoup de sédiments et de la matière organique, dont du maïs que les tortues venaient manger… » Ce marin français raconte une plongée dans le cratère de l’explosion, qui a ravagé le port et la ville de Beyrouth, le 4 août dernier. Ce cratère ne fait pas 43 mètres de profondeur, comme on a pu le lire dans différents médias, mais de « quatre à six mètres » en eau, assure le capitaine de corvette Aymeric Barazer, qui commandait le détachement de plongeurs-démineurs français dépêchés à Beyrouth pour « soutenir » les plongeurs des forces armées libanaises.
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Source : Secret Défense