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« C’était une passion, c’est devenu mon métier. » C’est une belle histoire. Celle d’un homme rieur qui a fait de son amour des rapaces son gagne-pain. Pendant une dizaine d’années, Alain Le Cochonnec s’est formé. Sur le tas, puisqu’il n’existe « aucun cursus reconnu ». Tout seul. Ou presque. « Ma première démarche a été de contacter des fauconniers, raconte-t-il. J’en connaissais deux dans le Var. »
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Source : Var Matin