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On aurait pu penser que la sécurisation des équipements militaires serait montée d’un cran après le risque d’intensification de la menace terroriste. Mais, pour l’instant, le curseur de sécurisation des bases militaires (Brest, Landivisiau) et du site ultrasensible de l’Île-Longue est resté le même, selon le porte-parole de la préfecture maritime, le capitaine de frégate Marc Gander. Déjà parce que ces sites sensibles disposent de niveaux de sécurisation spécifiques, distincts des indications du plan gouvernemental Vigipirate.
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Source : Le Télégramme