Et si le porte-avions Charles de Gaulle était victime du (…)
Dans une audition qui s’est focalisée sur l’humain et le (…)
Jusqu’à une époque récente, il était de bon ton de stigmatiser les journalistes qui pointaient du doigt les dysfonctionnements de la défense, ou qui avaient le malheur d’être sceptiques. Seulement, les conséquences des lacunes d’hier sont là, désormais. Les chefs d’état major de la marine et de l’armée de l’air n’ont d’ailleurs pas hésité à en citer quelques unes aux députés de la commission de défense.
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Source : Le Mamouth
