« Le groupe d’intervention navale, un élément-clé de la Finul », indique Ban Ki-moon au Conseil de sécurité

  • Dernière mise à jour le 23 février 2010.

« Je tiens à souligner que le déploiement actuel de la Finul, les avoirs et les ressources dont elle dispose ne seront pas maintenus indéfiniment. Il incombe aux parties concernées de tirer avantage de la présence de la Finul, sachant que celle-ci a empêché la reprise des hostilités (à la frontière libano-israélienne) en étant un important facteur de dissuasion. Elle a jeté les bases d’un processus devant aboutir à un cessez-le-feu permanent et à une solution à long terme, comme envisagé dans la résolution 1701. Le manque de progrès risque de compromettre la cessation des hostilités, » écrit le secrétaire général de l’ONU, dans une lettre datée du 12 février adressée au président du Conseil de sécurité, et rendue publique hier.

L’article est disponible sur le site du journal.

Source : L’Orient-Le Jour (Liban)