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L’âme d’un bateau, c’est son équipage. Celui de l’Abeille Languedoc, vingt-quatre marins divisés en deux bordées, voit le navire quitter Cherbourg avec une certaine nostalgie. Mais en conservant le sentiment de fierté d’avoir servi sur un navire au caractère sacrément bien trempé.
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Source : Ouest-France